À l’occasion de l’arrivée toute proche du Festival d’Angoulême (FIBD), nous avons l’honneur de vous annoncer l’arrivée dans notre catalogue d’un titre autobiographique très spécial : « Ma vie en 24 images par secondes ».

Né en 1941 à Tokyo. Fasciné par le cinéma, découvert grâce à son père, il rejoint Toei Doga (Toei Animation) en 1958 où il commence sa carrière en tant que coloriste sur Serpent Blanc, le premier long métrage en couleur d’animation japonaise. C’est le début d’une aventure palpitante…

Cet album, grand format et cartonné, vient célébrer et rendre hommage à l’immense contribution de Rintarô au monde de l’animation !

Planning à Angoulême

Séances de dédicaces sur le stand Dargaud et sur le stand Kana, séances de presse, masterclass et projection.

Plus d’informations détaillé de son planning prochainement 🙂

 

One-shot

Le 26/01/2024

Un parcours hors du commun qui va nous mener du Japon d’après-guerre jusqu’en 2001 et la sortie du film Metropolis.

Un parcours fait de rencontres, d’opportunités, de soirées interminables, de jazz, de cigarettes, mais surtout de cinéma. Une passion qui lui a été transmise par son père et qui lui donnera très tôt l’envie de devenir réalisateur.

Et c’est le cinéma d’animation qui lui offrira cette opportunité. Autre figure incontournable de ce parcours, celle d’Osamu Tezuka auprès duquel il va travailler des années, notamment sur la première série d’animation : Astro.

Puis Rintaro prendra son envol et se verra confier la réalisation d’autres œuvres auxquelles il apportera sa créativité et qui deviendront des réalisations clés de l’histoire de l’animation japonaise : Le Serpent blanc, Sabu et Ichi, Capitaine Albator, Galaxy Express 999, etc.

Si le cinéma d’animation japonais est devenu une référence mondiale, c’est en bonne partie grâce à lui.